Elles disposent également de la télévision, d’un petit réfrégirateur, ainsi que d’un accès gratuit au réseau wi-fi. La chambre en elle-même dispose d’un petit coin bureau, le reste étant dédié à l’espace de couchage. Certaines chambres sont également dotées d’un espace salon dans lequel on peut se détendre. En fonction de l’orientation de la chambre, on dispose d’une vue sur la colline ou sur l’océan Atlantique. Cet hôtel dispose d’un restaurant de type gastronomique, servant notamment des plats raffinés cuisinés à partir de produits locaux. Il dispose également d’une partie bar / salons dans laquelle on peut venir se poser pour prendre un verre. Ces salons, comme toutes les parties communes de l’hôtel, disposent également du wi-fi gratuit. Le petit-déjeuner est inclus dans le prix de la chambre. Celui-ci se prend à l’étage, dans l’espace restaurant. Il s’agit d’un petit-déjeuner de type buffet où l’on trouve à la fois du sucré et du salé. Il convient à tout le monde car présente un large choix. La réception est ouverte 24h/24, et le personnel y est accueillant. On peut notamment se renseigner sur les attractions aux alentours et réserver les billets pour certaines. A noter qu’en saison hivernale la réception propose aux clients de les réveiller en cas d’apparition d’aurores boréales. Nous en avons d’ailleurs observé le soir de notre venue, en début de soirée. Toutes les conditions étaient réunies pour leur apparition. Nous avons alors repris la voiture pour les observer au-dessus de Jokulsarlon : magique !
Concernant l’essence, son prix est un peu plus élevé qu’en France et le gasoil est presque aussi cher. Compter 180-200 ISK/litre. Si vous louez un 4×4, vous risquez de devoir passer à la pompe tous les jours ! L’Islande est un pays où le tricot est un sport national. Outre les pulls, il existe aussi un vaste choix de gants, moufles, mitaines, bonnets, chaussettes de laine et autres ponchos, certains très classiques, d’autres vraiment originaux. Sachez tout de même qu’une bonne partie de la production est aujourd’hui automatisée. Des marques locales comme 66° North, Icewear ou Zo-On Iceland proposent des vêtements parfaitement adaptés aux activités de plein air et aux conditions climatiques rudes. Chers, très chers vêtements ! Comme dans tous les pays nordiques, les objets de décoration en verre, bois, céramique ou lave sont vendus dans les boutiques souvenirs. On trouve aussi des objets en galuchat, un cuir de poisson produit par une unique entreprise de la côte nord (Sauðárkrókur). Plus jolis : les pendentifs et autres bijoux en argent conçus à partir de modèles médiévaux. Dans un autre registre, les enfants adoreront les peluches et calendriers de macareux ou baleines et les adultes les beaux livres, souvent commentés en français et illustrés de photos de volcans et glaciers. Plusieurs entreprises locales de cosmétiques proposent des produits dont la composition inclut des minéraux islandais, comme ceux de la marque bio Tær Icelandic, de Blue Lagoon, ou encore Purity Herbs et Villimey. Côté gastronomie, pas grand-chose à rapporter, si ce n’est des chips de poisson séché. Emballez bien ça dans votre valise sinon bonjour les odeurs en rentrant !
À proximité, vous pourrez également faire de la moto-neige mais les tarifs pour ce type d’excursion sont largement disproportionnés en comparaison au temps passé en selle. L‘absence d’hébergements à proprement parler autour de la lagune peut s’avérer problématique. Si vous tenez absolument à dormir sur place, le camping est toléré autour de la lagune mais les températures peuvent être très froides même en été. Le visiteurs venant en camping pourront rester sur le parking à proximité du pont sans soucis. Pour les voyageurs recherchant un hôtel dans la région, voici le meilleur choix à proximité de Jokulsarlon. Au nord d’Hofn à une petite centaine de kilomètres de la lagune, cet hôtel bien tenu et particulièrement charmant est la meilleure option d’hébergement de la région. Les belles vues sur la nature à l’extérieur rajoutent au charme de l’endroit et le bar / restaurant est très appréciable. La lagune glaciaire de Jokulsarlon est particulièrement prisée des visiteurs et leur nombre peut parfois être impressionnant. Cependant, la majorité des touristes se regroupent au niveau du pont près de l’embouchure lacustre. Si vous souhaitez vous isoler, envisagez de vous garer à distance du pont à l’ouest de ce dernier.
Les températures plus clémentes provoquent une plus grande perte de glace du glacier, remplissant le lagon d’une quantité énorme de superbes icebergs flottants. Si vous voulez voir cet endroit magnifique dans toute sa splendeur, nous vous recommandons de le visiter entre avril et octobre. Pour plus d’amusement, venez entre juin et septembre. Pendant ce temps, vous pourrez faire des excursions en bateau sur le lagon. Naviguez entre les énormes icebergs et approchez-vous d’eux. Pour les aventuriers, nous vous recommandons d’essayer le tour en kayak, qui est encore plus amusant! En été, un grand nombre de sternes arctiques nichent autour du lagon. Ils sont vifs et forts. Ils ne se soucient pas du tout des visiteurs. Si vous vous promenez près de leur lieu de nidification et que vous vous retrouvez attaqué par des parents de sternes furieux, vous aurez l’impression de faire partie d’un voyage de découverte des étendues sauvages de National Geographic! Le Jokulsarlon est un impressionnant lagon qui fait partie du vaste parc national du Vatnajokull. Le lagon compte environ 300 icebergs scintillants, de tailles et de formes diffé-rentes qui se sont décrochés de la langue glaciaire Breidarmerkurjokull et qui dérivent vers l’océan. Encore plus de glace se trouve sur la plage de sable noir. L’interaction de la lumière entre le sable noir, la glace scintillante, des vagues et de la neige en hiver font de ce lieu un formidable terrain pour s’adonner à la photographie. Bien qu’étant déjà un rêve devenu réalité, ce paysage peut être agrémenté par des aurores boréales si les conditions sont favorables. La glace scintillante du Jokulsarlon a inspiré de nombreux photographes et réalisateurs. On peut retrouver ces paysages dans les James Bond “Vivre et laisser mourir” et “Dangereusement vôtre”. Les fans de la série Trône de fer reconnaîtront les scènes près du mur des premières séries étant donné qu’elles ont été tournées dans la région du Vatnajokull.
Poussez la porte de n’importe quel bar à cocktails de Reykjavík, et commandez un cocktail à base de liqueur de boulot, de rhubarbe ou encore de camarine ! Shooter de vodka aromatisée à l’opale Avec de la liqueur de réglisse, bien sûr ! Cette boisson est élaborée à partir des célèbres pastilles de réglisse. Vous pouvez également demander une variante appelée Tópas qui est tout aussi goûteuse. Whisky flóki Whisky local produit uniquement à partir d’ingrédients islandais (dont de l’orge). Vous pouvez également le demander fumé en « tadreykt » (à la bouse de mouton). Brennivín ou liqueur de la Mort Noire. On le boit généralement après un plat de requin fermenté « hákarl » (ça aide à faire passer l’arrière-goût). Qui dit nouvelle époque, dit nouvelles technologies et nouvelles connaissances. Les Islandais ont appris à utiliser leur environnement naturel, et notamment l’énergie géothermique. Grâce à elle, ils chauffent leurs maisons. Mais la ville de Hveragerdi arbore également fièrement quelques serres qui, grâce à l’énergie géothermique, sont capables de produire des fruits et des légumes toute l’année. AM 655 IX 4to. Composées environ autour de 1150. AM 645 4to. XIIIe siècle. AM 623 4to. Première moitié du XIIIe siècle. AM 652 4to. Deuxième moitié du XIIIe siècle. Codex Scardensis, XIVe siècle. Poèmes eddiques (Eddukvæði) : poèmes mythiques et héroïques. Poèmes scaldiques. Composés probablement dès le VIIe siècle et mis par écrit à partir du XIIe siècle. Livre des Islandais (Íslendingabók) version originale et traduction française, écrit par Ari fróði Þorgilsson (1067-1148) cf. Deux manuscrits du XVIIe siècle copiés de l’original du XIIe siècle par Jón Erlendsson. Livre de la colonisation (Landnámabók), cf. Trois versions : Sturlubók version originale, écrit par Sturla Þórðarson (1214-1284), Hauksbók, écrit par Haukr Erlendsson (1265-1334), Melabók, écrit par Snorri Markússon (d. Saga de la christianisation (Kristni saga), cf. Odda tala composé par Oddi Helgason au XIIIe siècle, existe en trois versions : GkS 1812 4to, Hauksbók et Rímbegla. Rímtöl (1150), composé probablement par Bjarni Bergþórsson inn tölvísi. Rímtöl II, composé dans le dernier quart du XIIIe siècle. Rímtöl III composé au XIVe siècle. Grágás (1122-1133), cf. AM 315 a, b et c fol. GkS 1157 (Konungsbók), 93 p. Composé autour de 1260. AM 334 (Staðarhólsbók), 108 p. Járnsíða (1271), code royal, cf. Quatrième traité grammatical, premier quart du XIVe siècle. Provenance : Codex Wormianus (Wormsbók), AM 242 fol.