Je suis allée en Islande deux fois (2012 et 2015), et j’ai visité le Blue Lagoon deux fois. S’il n’en avait été que de moi, j’y serais probablement allée une fois seulement, mais j’ai visité avec deux amies différentes, et les deux tenaient à y aller. Et puisque je ne dois pas me faire prier pour me prélasser dans de l’eau chaude, j’y suis retournée. La première fois que j’y suis allée, j’ai opté pour un forfait premium qui n’est aujourd’hui plus offert, et la deuxième, j’ai pris l’entrée de base. 40 euros) que je recommande. Oui, c’est cher, mais irais-tu à Paris sans jeter un coup d’oeil à la tour Eiffel? En Inde, sans voir le Taj Mahal? À Sydney, sans faire un tour au Opera House? Un moment donné, il faut accepter que certains attraits touristiques sont des attraits touristiques pour une raison, et que ça signifie peut-être un prix d’entrée plus élevé. Le Blue Lagoon vaut une visite pour plusieurs raisons, dont le fait qu’il s’agisse de l’attrait touristique principal de l’Islande. While very clean and well situated, the cabin was very basic. We had to make our own beds and find our own trash bags. The front door lock was also a huge pain to lock/unlock. Cabin was in a great location with in walking distance of Geysir. Quiet, private and remote yet close enough to Geysir for the Geysir attraction and restaurants. Very peaceful. Clean and tidy. Great directions and the host responded quickly to my questions. However I couldn’t access the map they tried to send me. Kitchen was quite small and may have been difficult to cater for more people. Also only one bathroom. There were toys for small children and I spotted a high chair. Great chalet to stay in and great location. Just be aware that the 3rd bedroom is on the mezannine and is open to the living room. We had a thoroughly great experience here- near to Geysir and easily accessible to other beauty spots -too many to mention! This cabin was a lovely little find! It was spacious for 6 people and the hot tub was a lovely touch. The road leading up to the cottage is very scary when it is icy but the scenery sure makes up for it! It’s very close to the Geysir, and if you’re very lucky (which we were not) it’s in a perfect location for the Northern Lights. I would recommend this cabin to anyone! Wonderful all around place to stay. The cabin was fantastic. A shame we were only there two nights as there is so much to do in the immediate area. Just round the corner from Geysir, it was perfectly located with lovely views of the surrounding mountains and countryside. We saw two arctic foxes and lots of bird life from the window during the long summer nights. A lovely cabin, very comfortable beds and very communicative hosts.
Nous confirmons qu’il est difficile de l’emprunter avec un véhicule non 4×4, même si nous avons croisé des voitures à deux reprises. Nous randonnons ensuite environ 1h30 ; nous sommes subjugués par la beauté absolument époustouflante du site, qui est d’ailleurs une zone protégée. Du haut de la falaise, le phare de Dyrhólaey, construit en 1910, surplombe la mer et les plages de sable noir. Au loin, nous distinguons le grand glacier Mýrdalsjökull. De juin à juillet, le lieu est propice à l’observation du « Macareux moine », un magnifique oiseau marin surnommé « Clown de mer », mais en cette saison (avril), aucun macareux en vue ! Nous observons toutefois beaucoup de « Mouettes tridactyles » (ou Rissa tridactyla) et quelques Bécassines des marais ou Bécasseaux variables. Nous retournons ensuite sur la route N1, puis continuons vers l’Est (direction Vík), jusqu’à la route 215, qui mène au village Reynir et au site Reynisfjara (voir ). Le succès spectaculaire de l’Islande vient de cette capacité à travailler dur dont Dagur est un parfait exemple, ainsi que de cet impératif de créativité dont Svafa a parlé. Il faut également ajouter la conviction que les grandes idées sont réalisables. C’est le même esprit qui est à l’origine de la réussite de Reykjavik Energy, la société qui fournit aux Islandais la majeure partie de leur eau chaude et de leur électricité. Des canalisations s’enfoncent profondément dans la croûte gelée de la Terre pour en extraire non du pétrole mais de l’eau, qui, à 1 kilomètre au-dessous de la surface, atteint des températures de l’ordre de 200 °C. En 1940, 85 % de l’énergie islandaise provenait du charbon et du pétrole. ]. Reykjavik Energy est engagé dans des projets conjoints visant à reproduire le modèle islandais dans des pays aussi lointains que Djibouti, le Salvador, l’Indonésie et la Chine. Plus généralement, le succès de Reykjavik Energy est un symbole de la réussite islandaise : savoir maîtriser une nature hostile afin de la transformer, grâce à l’inventivité et à un dur labeur, en une énergie bénéfique et créatrice de richesse. Les artistes ne sont pas en reste.
Un voyage en Islande, terre des extrêmes et des contrastes, à la limite du cercle polaire, voilà l’occasion d’une fabuleuse leçon de géologie. Volcans, glaciers, champs de lave, zones géothermiques, bains naturels et plages de sable noir composent des paysages sauvages qui, selon le ciel et l’éclairage, évoquent le début ou la fin du monde. Avec ses sols craquelés, soulevés, fumants, bouleversés, laissant apparaître par endroits les entrailles de la Terre, l’Islande était considérée autrefois comme la porte des Enfers. Pourtant, quelque 330 000 habitants vivent sur cette île, la deuxième d’Europe par sa superficie (après la Grande-Bretagne), dans de paisibles villages côtiers, fiers d’être ancrés à une île dont la découverte ne laisse jamais indifférent. Car, à l’image de son relief et de ses couleurs tranchées et crues, l’Islande ne peut inspirer que des sentiments entiers. Vous userez jusqu’à la corde votre dictionnaire de superlatifs : à chaque instant on s’émerveille de la grandeur des paysages. En un mot, voilà l’Islande est une destination unique (et l’on pèse nos mots) pour le routard amoureux de nature et de solitude. Ce qui n’empêche pas Reykjavík de ressembler à une ville assez branchée, propice à un court séjour. Bref, de quoi contenter tous les curieux.
Si la pêche occupe toujours une place essentielle, l’hydroélectricité et la géothermie se développent progressivement. C’est à partir de 1991 que l’Islande opère une véritable transition économique, passant d’un système d’Etat-providence à une économie libérale. La participation de l’Islande à l’Espace Economique Européen dès 1994 intensifie cette révolution économique et la conduit à moderniser de nombreux secteurs, tels ceux de la banque, des technologies et de l’énergie. De 1994 à 2002, l’économie islandaise est marquée par la libéralisation, la privatisation des services -en particulier des banques- et l’ouverture de l’économie et des marchés financiers. Si ce « miracle économique islandais » a entraîné une surchauffe certaine, l’Islande est cependant aujourd’hui le sixième pays le plus riche de l’OCDE. L’Islande a de nombreux besoins et son économie est étroitement liée à ses importations. Si les pays européens sont les principaux fournisseurs de l’Islande, la France, avec une part de marché de 4 %, voyage entreprise en Islande ne se classe qu’au 10 ème rang des fournisseurs. La meilleure manière de découvrir ce pays est certainement de louer une voiture en Islande pour visiter l’île à votre propre rythme. Les voyages en voiture en Islande appelés « autotours » deviennent de plus en plus populaires car vous profitez de la découverte des paysages et ce, en toute indépendance avec votre voiture de location. Chaque année de nombreux voyageurs conçoivent leurs itinéraires de route et louent une voiture en Islande. Cependant la difficulté de conduire en Islande est souvent sous-estimée. Vous trouverez alors ci-dessous des informations utiles pour vous préparer à conduire en Islande en toute sécurité. Quel type de voiture louer en Islande ? En hiver (notamment entre mi octobre et mi-mars) nous recommandons aux voyageurs de louer un 4×4, véhicules qui tiennent mieux sur les routes enneigées. Le reste de l’année si vous restez sur les routes principales, une voiture standard suffit. Sachez que les pistes de l’intérieur de l’île ne sont accessibles qu’en été, généralement entre fin juin et mi-septembre.